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les chevaux

14 mai 2008

priere du cheval

Tu m'as conquis,
Sache me garder.
Je te servirai,
Si tu es juste et respectueux,
Attentif à mon humeur,
Si tu sais me parler,
Mesurant ma peine
Et me soigannt comme un frère,
N'oubliant jamais que le cheval
Est plus de la moitié du cavalier.



A toi mon maître,
Depuis la nuit des temps, je suis l'ami de l'homme.
Créé pour te servir, te faciliter ton labeur,
Et aussi pour t'apporter du bonheur.
D'allure noble, crinière au vent je te conduirai.
De nature sensible, à tes ordres donnés avec douceur j'obéirai.
Et ma bravoure à tout instant je t'offrirai.
Accorde-moi ta confiance en chevauchant ma monture.
Loyal je serai,
Ton meilleur ami je resterai!

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14 mai 2008

Tu m’as conquis, Sache me garder, Je te servirai

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Tu m’as conquis,

Sache me garder,

Je te servirai

Si tu es juste et respectueux,

Attentif à mon humeur,

Si tu sais me parler,

Mesurant ma peine,

Et me soignant comme un frère,

N’oubliant jamais que le cheval

Est plus que la moitié du cavalier.

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14 mai 2008

chevaux

14 mai 2008

la priere du cheval

La prière du cheval

Maître bien-aimé,

Donne moi à boire et à manger et prends soin de moi.

Et quand le travail de chaque jours sera achevé, donne-moi un abris,

un endroit propre pour me reposer

Et un petit espace, pas trop petit, dans ton écurie.

Parle- moi, car souvent ta voix renplace le mors.

Sois bon avec moi, et je te servirai encore plus gaiement, et je t'aimerai.

Ne tire pas sur les rênes, ne te sers pas de ton fouet dans les montées.

Ne me bats pas, ne me donne pas de coups de pied si je ne comprens pas.

Mais laisse-moi le temps de saisir tes intentions.

Ne me juge pas désobéissant si je suis long à t'obéir.

Laisse-moi faire cette prière et ne crois pas que ce soit par manque

de révélation si je t'implore au nom de celui qui naquit dans une étable.
Et lorsque la fin sera proche,
bien-aimé maître,

Lorsque je ne pourrai plus te servir,

Je t'en supplie, ne me laisse pas mourrir de faim et de froid et ne me vend pas.

Ne m'abandonne pas à un maître inconnu qui me tourmentera lentement et

me fera périr.

Mais sois assez bon, mon Seigneur et mon maître, pour m'accorder

une mort douce et rapide.

Et Dieu te le rendra ici et dans l'éternité.

Et n'oubliez jamais que le cheval est plus de la moitié du cavalier

14 mai 2008

La Prière du cheval Depuis la nuit des temps, je

La Prière du cheval Depuis la nuit des temps, je suis L'ami de l'homme. Créé pour te servir,te faciliter ton labeur, Et aussi pour t'apporter du bonheur, D'allure noble, crinière au vent, Je te conduirai. De nature sensible, à tes ordres j'obéirai, Et ma bravoure à tout instant Je t'offrirai Accorde moi ta confiance en chevauchant ma monture. Loyal je serai, ton meilleur ami je resterai !

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14 mai 2008

encore un priere du cheval mais celle-ci est nouvelle

Stéphane Bigo nous propose la "nouvelle prière du cheval" pour nous convaincre, si cela était encore nécessaire, de son respect et de son amour des chevaux.

Cavalier, laisse moi te dire ...

Je suis un coureur de prairies, j'aime les grands espaces. Fais-moi travailler en premier lieu dans la nature, car elle est ma joie de vivre. Je te donnerai en échange le meilleur de moi-même.

Je n'aime pas vivre seul, j'ai besoin de la compagnie de mes semblables pour galoper, pour manger, pour jouer ou pour me battre. S'il te plaît ne m'emprisonne pas.

Comme tout herbivore, je suis un animal de fuite. Je suis donc facilement impressionnable, l'agressivité me traumatise et en cas de danger, fictif ou réel, ma première réaction est de fuir. C'est pourquoi j'ai besoin que tu m'expliques, mais surtout que tu me mettes en confiance, avec patience, avec amour.

À ceux qui me dominent, j'offre ma force, ma rapidité, ma résistance.

Mais à ceux qui m'apprivoisent, j'ouvre les portes de ma propre magie. Car je suis plus qu'un moyen, je suis l'initiateur. Mon univers est celui d'un ordre oublié, celui des forces vives et des sensibilités où l'homme retrouve son être originel et son identité.

Cavalier, si tu m'aimes...

Médite et fais ce qui convient.

Stéphane Bigo ©1985 Tous droits réservés

14 mai 2008

priere du cheval 2

A toi, mon maître, je dédie cette prière:
  Donne-moi souvent à manger et à boire; et, quand ma journée de travail est finie, veille à ce que ma litière soit sèche et propre et mon box suffisamment large afin que j'y sois à l'aise.
  Chaque jour contrôle mes pieds soigne-moi avec une éponge humide.
  Quand je refuse de manger, examine mes dents ; peut-être qu'un ulcère m'empêche de manger.
  Comme je ne peux te dire quand j'ai soif, fais-moi boire souvent de l'eau fraîche et propre, même pendant le travail ; ceci m'évitera la colique et autres maladies.
  Parle-moi : ta voix est souvent plus efficace que la cravache et les rênes.
  Caresse-moi souvent pour que je puisse apprendre à t'aimer et te servir mieux.
  Ne me tire pas la tête vers le haut avec le filet, ce qui me cause de grandes douleurs au cou et à la bouche et m'empêche de développer toutes mes forces et de me sauver des chutes.
  Ne me coupe pas la queue, me privant ainsi de ma meilleure défense contre les mouches et les taons qui me tourmentent.
  Ne tire pas sur les rênes, et dans les montées ne me donne pas de coup de cravaches. Ne me donne pas de coups, ne me bat pas quand je ne comprends pas ce que tu veux, mais essaye que je puisse te comprendre. Si je refuse, assure-toi que le mors et la bride soient en ordre et que je n'ai rien aux pieds qui me fasse mal. Si je m'effarouche, ne me frappe pas, mais pense que cela peut dépendre de l'usage des œillères qui m'empêche de bien voir ou de défauts de ma vue.
  Ne m'oblige pas à tirer un poids supérieur à mes possibilités, ni à aller vite sur des rues glissantes. Quand je tombe, sois patient et aide-moi, car je fais de mon mieux pour rester debout; et si je bute, sache que ce n'est pas de ma faute ; n'ajoute pas à mon angoisse d'avoir échappé à un danger le mal de tes coups de cravache qui augmentent ma peur et me rendent nerveux.
  Essaye de me mettre à l'abri du soleil. Et quand il fait froid, mets-moi une couverture Sur le dos, non pas quand je travaille, mais quand je suis au repos.
  Et enfin, mon bon maître, quand la vieillesse me rendra inutile, ne me condamne pas à mourir de privations et de douleurs sous la férule d'un homme cruel, mais laisse moi mourir de vieillesse, au pré, chez un paysan qui me traitera bien ou dans une pension pour vieux chevaux méritants comme nous en avons ou enlève-moi toi-même la vie, sans me faire souffrir et tu en auras le mérite.

14 mai 2008

les chevaux 2

14 mai 2008

les chevaux

14 mai 2008

A toi, mon maître, je dédie cette

A toi, mon maître, je dédie cette prière:
Donne-moi souvent à manger et à boire; et, quand ma journée de travail est finie, veille à ce
que ma litière soit sèche et
propre et mon box suffisamment large afin que j'y sois à l'aise.
Chaque jour contrôle mes pieds soigne-moi avec une éponge humide.
Quand je refuse de manger, examine mes dents ; peut-être qu'un ulcère m'empêche de manger.
Comme je ne peux te dire quand j'ai soif, fais-moi boire souvent de l'eau fraîche et propre, même pendant le travail
; ceci
m'évitera la colique et autres maladies.
Parle-moi : ta voix est souvent plus efficace que la cravache et les rênes.
Caresse-moi souvent pour que je puisse apprendre à t'aimer et te servir mieux.
Ne me tire pas la tête vers le haut avec le filet, ce qui me cause de grandes douleurs au cou et à la bouche
et m'empêche
de développer toutes mes forces et de me sauver des chutes.
Ne me coupe pas la queue, me privant ainsi de ma meilleure défense contre les mouches et les taons qui me tourmentent.
Ne tire pas sur les rênes, et dans les montées ne me donne pas de coup de cravaches. Ne me donne pas de coups,
ne me bat pas
quand je ne comprends pas ce que tu veux, mais essaye que je puisse te comprendre. Si je refuse, assure-toi que le mors et
la bride soient en ordre et que je n'ai rien aux pieds qui me fasse mal. Si je m'effarouche, ne me frappe pas, mais pense
que cela peut dépendre de l'usage des œillères qui m'empêche de bien voir ou de défauts de
ma vue.
Ne m'oblige pas à tirer un poids supérieur à mes possibilités, ni à aller vite sur des
rues glissantes. Quand je tombe, sois
patient et aide-moi, car je fais de mon mieux pour rester debout; et si je bute, sache que ce n'est pas de ma faute ; n'ajoute
pas à mon angoisse d'avoir échappé à un danger le mal de tes coups de cravache qui augmentent
ma peur et me rendent nerveux.
Essaye de me mettre à l'abri du soleil. Et quand il fait froid, mets-moi une couverture Sur le dos, non pas quand je
travaille,
mais quand je suis au repos.
Et enfin, mon bon maître, quand la vieillesse me rendra inutile, ne me condamne pas à mourir de privations et
de douleurs
sous la férule d'un homme cruel, mais laisse moi mourir de vieillesse, au pré, chez un paysan qui me traitera
bien ou dans
une pension pour vieux chevaux méritants comme nous en avons ou enlève-moi toi-même la vie, sans me faire
souffrir et tu en
auras le mérite.

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